L’auteur (aussi) a son mot à dire : « Au cours de ma carrière de journaliste, j’ai rencontré nombre d’artistes, plus ou moins attachants, mais les contacts, souvent empreints de sympathie, sont restés superficiels. Jack Diéval a été l’un des rares personnages dont j’ai suivi la carrière car, au-delà de son art, j’ai apprécié de pouvoir parler avec lui de sujets essentiels, et même d’avoir le droit de n’être pas toujours d’accord ! Esprit ouvert, tout l’intéresse : philosophie, ésotérisme, humanisme. Fait rare : il ne se dérobe jamais par une pirouette devant les questions qui nous préoccupent tous secrètement. En roulant sa bosse autour du monde, il a acquis une grande tolérance envers les autres, et professe que nul, ici-bas, n’a le droit de juger son prochain. Bref, Jack est un artiste sans fausses notes, comme on aimerait en rencontrer plus souvent... » Lise Genet.